Que sont les valeurs partagées et non partagées?
Le valeurs partagées et non partagées ils ont pour fonction sociale de mieux faire coexister, en donnant à chacun des qualités morales. Les valeurs, quel que soit leur type, rendent la vie possible dans la société.
Grâce aux valeurs, les conflits sont évités et des hiérarchies sont établies sur ce qui est acceptable et bénéfique et ce qui ne l'est pas.
En dehors de ces caractéristiques communes aux valeurs partagées et à celles qui ne le sont pas, il existe une différence fondamentale entre ceux-ci: le nombre de personnes qui acceptent de les conserver comme élément fondamental de leur comportement.
Parmi les valeurs partagées, citons la liberté, le respect et l’égalité, tandis que les non-partagés sont l’amour, la gentillesse et l’honnêteté.
Les 4 principales valeurs partagées
Les valeurs partagées sont considérées comme la véritable base de la coexistence entre les êtres humains. Ils constituent l’ensemble des croyances morales que possède la grande majorité de la population.
En fait, ils sont pris en compte parmi les droits de l’homme, sous prétexte qu’ils sont respectés et assumés par tous.
L'importance de ces valeurs est telle qu'elles peuvent éviter les guerres et les conflits, les haines et les répressions, ainsi que d'autres problèmes majeurs.
1- Liberté
Dans ce cas, la liberté n'est pas seulement comprise dans le sens classique du fait que tous les hommes sont nés et devraient être libres, mais aussi que l'on doit avoir la possibilité de choisir chacune des décisions individuelles.
Le seul frein à cette liberté serait le respect de la loi et ne pas nuire à autrui.
2- Respect
C'est l'une des valeurs les plus importantes pour la vie en société. Cela reconnaît la dignité des autres, les percevant du positif.
Cela affecte aussi directement chaque personne, car pour obtenir le respect, il est nécessaire de l’offrir aux autres.
3- égalité
L'égalité ne consiste pas à uniformiser la société, mais à respecter différentes manières d'être et de penser.
En bref, il s’agit de reconnaître que tous les êtres humains ont les mêmes droits et les mêmes possibilités.
4- Justice
Ce principe fonctionne en interdisant ou en permettant les différentes actions que font les êtres humains dans la société.
C'est un accord social qui établit les lois jugées adéquates et promet de les respecter.
Les 3 valeurs non partagées principale
Les valeurs non partagées, malgré leur importance, se caractérisent par une plus grande subjectivité. Ils répondent à la manière de penser de chacun.
Certains sont purement individuels, tandis que d'autres sont partagés avec très peu de personnes.
Face à l'universalité et à l'invariabilité du partage, celles-ci dépendent souvent de circonstances personnelles et peuvent varier avec le temps.
1- l'amour
L'un des éléments caractéristiques de l'amour est que, même s'il est important, il n'est généralement partagé qu'avec quelques personnes.
De plus, il peut exister de nombreuses manières de le vivre, de sorte qu’il est différent chez chaque individu.
2- la bonté
Comme avec l'amour, il n'y a pas de définition universelle du bien. Il existe des manières très différentes de l’envisager, en fonction de nombreuses variables.
En dehors de cela, tout le monde n’a pas cette valeur morale ou la volonté de l’acquérir.
3- Courage
Bien que l'on dise souvent que tout le monde peut avoir des traits courageux, en réalité, cette valeur n'apparaît pas chez tous les êtres humains.
Même certaines personnes ne le considèrent même pas comme fondamental, alors cela fait clairement partie des valeurs non partagées.
Références
- Valeurs morales. Concept de valeurs Récupéré de valoresmorales.net
- Justo Serna Alonso, Anaclet Pons Pons. L'histoire culturelle Récupéré de books.google.es
- Naomi Ellemers, Manuela Barreto. Partage des valeurs morales: le respect anticipé de Ingroup en tant que déterminant du respect de la moralité. Récupéré de journals.sagepub.com
- Brooks, David. Si ça sent bien ... (12 septembre 2011). Récupéré de nytimes.com
- C. L. Ten. Faire respecter une moralité partagée. Récupéré de journals.uchicago.edu